Est-ce qu’une émotion excessive dans le positive compense le marasme de journées quasi totalement teintée de négatif ?
C’est une question que l’on est en droit de se poser. Je crois que non. Je crois que le positif et le négatif sont 2 comptes émotionnels distincts. Le fonctionnement de ces comptes diffère du fonctionnement en comptabilité. Leur remplissage respectif ne parvenant pas à une balance nulle, malheureusement.
Donc, en ce moment, c’est les montagnes russes dans le cœur, dans le ventre, dans la tête, dans le moral, de votre bienveillant serviteur.
Les écarts entre l’excessivement positif et le pitoyablement négatif me forçant à une gymnastique que mon état de fumeur ne me permet pas. Je l’accepte malgré tout.
Aussi, ai-je décidé que mes journée ne durent que 4 à 6h. Elles démarrent à 18h pétantes. Avant, je suis plongé dans un sommeil profond et agité de cauchemars. Vers 18h, je me réveille enfin, et je passe des journées plus délicieuses les unes que les autres.
La question est : pourquoi durent elles si peu de temps ? Combien de temps vais-je résister à ce rythme là ? Ségolène sera-t-elle élue présidente ? Nicolas boit il le rince doigt lorsqu’il va au restaurant ? L’ascenseur de l’immeuble d’Arlette a-t-il enfin été réparé ?
To be continued…